« Tant les Québécois que les Canadiens des autres provinces réalisent aujourd’hui que même en travaillant à leur retraite, ils n’auront pas les moyens de maintenir un niveau de vie acceptable », affirme Monique Tremblay, première vice-présidente Epargne et Fonds distincts chez Desjardins Sécurité financière. Depuis trois ans, Desjardins Sécurité financière réalise un sondage téléphonique annuel afin de prendre le pouls des Canadiens à l’égard de leur retraite. « Selon les résultats des premiers de ces sondages, les gens pensaient être capables de prendre une retraite anticipée et d’être suffisamment en forme pour continuer à travailler à temps partiel. Or, les annonces relatives à l’augmentation des frais de soins de santé et de médicaments ainsi qu’à la diminution de l’appui financier apporté par leur gouvernement provincial a plutôt rafraîchi leur ardeur au cours de la dernière année. Ils sont plus que jamais conscients qu’un état de santé précaire pourrait avoir une influence majeure sur leur condition de vie à la retraite. Aussi, ils savent qu’ils doivent épargner davantage afin d’être en mesure d’acquitter les frais de soins de santé qu’ils pourraient avoir à engager à ce moment. La peur de tomber malades pourrait bien pousser les Canadiens à demeurer sur le marché du

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